I can't be someone else, I can't play any comedy.
I think that being myself every day is the best behaviour ever.
7 billion people, only one love. Impossible say my friends. True says my mind.
We will travel together, I promise you. I never forget it.
"Future Is Now" is not only my band, it's also a reality.
Love.
I am STIEG.
mercredi 25 juillet 2012
Festival fever // Lover's Mind
Belgian festivals are definitely the best ! Gigs - Parties - Beers - Emotions and meetings.
I'm now a great friend with a teacher I like so much, we are real music lovers, we can talk about it during thousands hours.
I discovered some amazing bands who play progressive rock with their electro touch. Love it, as we do in studio.
I can't wait. I really can't wait.
You know that I can't sleep for hundreds days, since the only drink in the Irish pub. I feel so sad since this day. So, I've to forget it. Definitely. I'll be with her for a entire day, I'll avoid my love.
Coma Black on the iPod, Trouble on the radio. What else better ?
She will be in all my thought during this travel. Every picture I'll take, every feeling I feel, I'll share.
So I won't expose all here, read and enjoy.
I am Your STIEG
jeudi 12 juillet 2012
Hell but rain.
Hot awakening but rain.
Rich english breakfast but rain.
Footing around the houses but rain.
Reading some Onfray's book but rain.
Working on our website but rain.
Last arrangement on some mixes but rain.
Some quick cold dinner but rain.
One more insane film in the dark but rain.
Thinking about some projects but rain.
One more song played on the phonograph but rain.
I officially declare that I miss my old enemy, the sun.
I am rainy STIEG.
mercredi 11 juillet 2012
Against myself, against you.
Intolerance kills.
I kissed a boy, as a try, as an experience. I won't die stupid. Accept it as we accept cruelty of the world, poverty in richest countries, badness of Humans.
There is one more believer in my friend circle. I won't exclude her as my family did with me, I won't blame it or just a little bit. It's for my dignity.
God is fake, hate, wars, lies.
Religion is a myth, a danger, a genocide. Don't do, don't believe anymore. World suffer already too much by it. Please, stop avoid your mind. Believe in you, in your fate, nothing else.
Religion bring us fear and wars. No joy, no help, no share and no love. Never.
Although, mixes are done. Or almost, my ears are never satisfied. This is our jewel, our long-time work, our heaviest gun to bring a revolution in the actual music industry. It's not an album for friends and family, it's for the worldwide future.
Stieg Project and his - army - album Future Is Now will invade your souls.
I miss sleeping. A lot. This work needs thousands hours of my life.
My favourite one will be partly released as a trailer. The movie has been shot, like the sheriff before.
Everyday with my computer in the home studio is helped by my dear green brandy, some fun with one-night girlfriends and all books I read every day. Baudelaire time.
I am against fascism of christianity.
I am STIEG.
mardi 10 juillet 2012
Owned by Death
Some mixes in the home studio tonight.
Honestly, people who don't believe will be hit by the truth.
"Future Is Now" will give you the only holy spirit's mind that exists.
I remember when (best?) friends were swearing that I cannot sing play anything. I maybe lied, lied for five years, maybe.
World will discover our story, their story. Of course, I am you.
You're now all prisoners, they are mine for a unbelievable long time.
I won't preserve or prevent you, I let it for your mind. Adapted since you were born, learn how to use it before.
You will know the power of music. Sounds like trumpets in the Bible. This is maybe our end too, it was maybe written, I am maybe too late.
Maybe you or may I be yours ?
"Future Is Now", more than a name, our reality.
Mixes are almost done. Shooting too. Time is up.
Be care and ready.
I am STIEG.
samedi 7 juillet 2012
Marilyn Manson aux Ardentes, récit d'une grande messe.
C'est avec une avance certaine, près de 10h tout de même, que mon ami et moi franchissons l'entrée du Parc Astrid pour se diriger vers la scène principale et vite se rendre compte qu'une cinquantaine de fans ont déjà pris leurs quartiers devant les barrières. Parmi eux nous retrouvons les éternels gothiques grimés comme leur idole ou poussant le ridicule encore plus loin en arborant cuirs, bottes et autres ferrailles sans aucun rapport avec la star, à se demander comment le grand Marilyn a-t-il pu les inspirer. Tout ceci ajouté aux fans féminines de 13 à 15ans qui n'hésitent pas à se scarifier les initiales du chanteur sur les seins ou à boire de l'absinthe coupée à l'eau. Il est assez clair qu'ils sont bien loin de ce que Marilyn Manson aurait espéré inculquer à ses fans mais il faut de tout pour faire un monde, les fans plus sobrement vêtus mais surtout adeptes du fond et non de la forme arriveront plus tard dans l'après-midi.
Pour ma part, je n'ose trop me réjouir. Il est clair que j'attends son concert depuis plusieurs années déjà mais sa récente descente aux enfers suivie d'un timide retour aux sources teinté d'un essoufflement certain me force à rester sur mes gardes.
23h30, après des heures interminables à supporter le hip hop abusant des basses des Far East Mouvement puis l'exotisme un peu trop sûr de lui des Balkan Beat Box, un immense rideau noir tombe et cache désormais la scène. Les curieux scandent "il est heure, ça commence". C'est évidemment mal connaître le Révérend qui avait déjà fixé son retard dès le matin.
C'est donc 45min en retard que les lumières s'éteignent, la fumée envahit la scène et l'intro "Surprisia Theme" tirée d'une BO d'un bon vieux Asia Argento berce la foule qui tend les bras et scande le nom du chanteur qui se fait désirer en ombre chinoise derrière le grand voile noir.
Le rideau tombe, les premières notes de Hey, Cruel World retentissent. Une intro lente suivie d'une explosion qui a pour effet de provoquer une explosion dans le public traduite par un impressionnant mouvement de foule. Un tout nouveau morceau très efficace.
S'en suivent quelques classiques tels que Disposable Teens ou The Love Song mais ce sont surtout les nouveau morceaux qui nous intriguent. Le single No Reflection est puissant et violent. Marilyn Manson s'essaie même à la guitare pendant Pistol Whipped, pas très convaincant. Slo-Mo-Tion n'est pas exceptionnel en live mais provoque cet effet de transe dans le public comme j'ai pu le ressentir sur l'album (Born Villain, ndlr).
Nous avons droit à beaucoup de bombes déjà vieilles d'une quinzaine d'années mais toujours aussi efficaces telles que Rock Is Dead, ou The Dope Show nous replongeant dans la grande époque où le chanteur dénonçait la bêtise des médias, des magazines et les pièges du succès. Pièges dans lesquels il est parfois tombé depuis. Nostalgie !
Plus loin dans le set, Manson nous rappelle qu'il adore les reprises en nous balançant Personal Jesus et Sweet Dreams (Are Made Of This) qui ont pris quelques rides mais qui emballent toujours autant la foule. Il n'y a plus que des disciples devant leur Dieu. Il sait se mettre l'audience en poche !
Enfin un petit mot : "Belgium Belgium Belgium Belgium Belgium thank you", ça fait plaisir, on commençait à croire qu'il n'était pas heureux d'être là.
Ensuite, 15ans de l'album Antichrist Superstar obligent, le groupe met à l'honneur ce merveilleux opus en offrant pas moins de quatre morceaux issus de ce bijou ! Tourniquet (chanté avec un parapluie couvert de LED), Irresponsible Hate Anthem (certainement le moment le plus violent du concert) s'enchaînent puis s'en suit un blanc de quelques minutes. Un grand pupitre de président est installé, bardé de micros et estampillé du célèbre shock logo. Manson réapparaît, chemise rouge et costume noir, tel un chef d'État qui apporte la bonne parole. Antichrist Superstar embrase la foule. Le chanteur déchire une bible, l'offre au public qui n'hésite pas à se battre pour s'emparer ne serait-ce que d'une seule page de ce livre devenu si précieux.
Pour clôturer le show, il ne manquait plus qu'un seul classique et il arrive enfin : The Beautiful People.
Il ne s'égosille plus comme avant mais nous l'introduit quand même à l'ancienne avec son célèbre "How does it feel to be one of the beautiful people?". Le public donne toute son énergie pour ce morceau, nous sommes écrasés par les plus déchaînés. Le groupe semble lassé, ils ont joué cet hymne des centaines de fois et ne semblent plus emballés.
Cela résume assez bien l'ensemble du concert, un cruel manque d'énergie, nous n'avons pas eu l'impression que le groupe prenait du plaisir et les morceaux s'enchainaient très vite ce qui a rendu le show un peu trop expéditif et bâclé. Marilyn Manson à fait beaucoup d'effort pour tenir sa voix, ce qui semblait impossible pour lui durant les deux dernières tournées. Du haut de ses 43ans il a gagné en maturité et nous a évité des gestes ridicules mais reste fidèle à son éternelle provocation en simulant régulièrement l'acte sexuel soit seul soit en tirant son bassiste, Fred Sablan, par les cheveux pour le coller contre son entre jambe.
C'est donc un concert en demi-teinte auquel nous avons assisté, les tournées à feu et à sang des 90s sont loin mais nous pourrons quand même dire "j'y étais" et à tous les détracteurs qui ont préféré le playback du hip hop américain, Manson est un artiste honnête et vrai, il assume ce qu'il est et il n'a que faire des critiques comme il dire lui-même : "I hate the haters, I rape the rapers".
Cela valait la peine d'être vu !
I am STIEG.
Crédit photo : Dominique Houcmant (c)
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