mardi 30 octobre 2012

I Found My June.

Like our John before
I found my other me
That makes no doubt
No doubt at all


mardi 11 septembre 2012

True Love Waits.

You'll study so far away from here now.

[ - Good Moon non-stop in my ears - ]

And I've never
seen you for real.
Just virtual relations.
Or some cam.

I am maybe jealous
of this new life.
Or maybe sick.

Truth is buried in love.
My love for you ?
Maybe, surely !

You will never visit me.
And live your new daily.
Live your new daily.

I just want one more song
The one which remind you to me
You to me

Maybe to be happy.
Maybe.

Happiness no longer lives without you.
Illness appears.
Lonelyness appears.

Is this a song?
Maybe our song?
I hope not.
Not this sad one

I'll stop writing
When I'll be happy.

My last song is near
Maybe nearer than ever
I'll write it for you

It will be the last one
Maybe
Maybe the last

Sure I will
Sure I'll go
Sure I've ill
Sure I'm now

I love you
Or love I
Always you

I'll wait you
Not hate you

'Cause true love waits.
'Cause fuel loves war

This is my plea of love.


I am STIEG.

lundi 10 septembre 2012

Dear friend who killed me.



I know you will read this soon.
I wish you to live the nicest life ever.
Without me is your choice.

I think you were maybe too young, you cannot follow my trips and thought.

My only advice :
Protect you from your friends because they will never protect you from your future.

I still love you. Until the end.


I am STIEG.


Song : Suspiria - Argento.

mercredi 5 septembre 2012

Last night in Liège.

This moment when you're drinking one awesome brandy with great friends when the most beautiful person on Earth walks next to you.
One shy kiss, a few words shyly pronounced, and nothing else.

It's my daily life...

All my love is so painful.

I don't know what to think. Give me a sign. Please.

I cannot be Stieg without you.

dimanche 19 août 2012

Manque profond



Les jours s'écoulent, la vie normale ne me manque pas, ou presque. Si il y a bien une seule raison qui me donne envie de rentrer, c'est elle.
Tout ce que je voudrais partager avec elle ici.. Tout ça fini par me hanter. Rendre fou.

Le train démarre dans 3 jours, même si cet écrit ne sera publié qu'à mon retour... Je reviens.

C'est court mais ça témoigne d'un manque profond de cette tendresse naturelle, celle qui me berce.

Stieg.

Morzine (Haute Savoie), France



Jour 1 : Levé à 4h, taxi à 5h. Ça c'est fait.
Le train pépère jusque Paris puis beau bordel pour changer de gare à Paris, les travaux du RER sont une vraie plaie en ce jour de départs...
Le voyage jusque Thônon se déroule sans soucis, les couinement d'un bébé ne m'empêchent pas de dormir les 3/4 du trajet.
15h30, arrivé à Morzine ! Fine pluie puis ciel bleu et un peu de chaleur revigorante. Les sommets sont toujours aussi beaux, je vais me répéter durant les prochains jours mais ça en vaut la peine. Le Morzine "en surface" n'a pas ou peu changé et tant mieux !
Premier souper avec les propriétaires, toujours aussi sympa, drôles et charmants.
La première nuit tant attendue, repos bien mérité avant les courses et la première ballade.


Jour 2 :

Réveil matinal après une magnifique nuit de 10h suivi d'un petit déjeuner débordant de myrtilles, que demander de plus ? Du soleil ? Il arrive dans 2h.
On va faire les courses, faut bien manger et boire.
43€ pour du saucisson (du vrai!) et quelques fromages sans oublier la faisselle du pays. C'est pas donné le terroir mais qu'est c'est bon.
Dîner au fromage et jambon fumé. Comme à la maison sauf que chez nous ils mettent du pétrole dedans.
Une après midi active, on monte à Super Morzine via le télé-cabines avec un couple d'anglais drôles et curieux à propos de la Belgique.
2h de marche et de cueillette de fraises des bois (pas beaucoup, assez quand même pour un dessert), quelques photos en mode "je me prends en photo avec la montagne derrière" puis retour à Morzine à pied et arrivée sur les genoux, ce fut dur ! Apéro zen puis repas. Longue conversation au jardin, qu'il fait bon et calme !
Je plonge sous la couette.

Jour 3 :

Réveil très matinal pour éviter la foule chez Tavernier (les meilleurs pains du monde).
Repos sudoku jusque midi, trop la flemme de bouger ce matin.
Après midi ensoleillée comme jamais, promenade et courses aux Derêches.
Soirée calme, sudoku encore, thé et demi-finales de natation aux JO.

Jour 4 :

Réveil calme, 10h de sommeil et malgré tout un coup de pompe. Faut être en forme pour la cueillette de l'après-midi !
Direction Super-Morzine puis les Crêtes via la montée du "Zore" et là, plein de myrtilles ! On cueille de quoi se faire un dessert puis on part marcher un peu. Le retour se fait via les Dérêches. Soirée repos, les jambes souffrent.

Jour 5 : Repos total. Petites courses puis souper, film, repos encore. Peu à raconter pour aujourd'hui, on s'ennuie vite à ne rien faire mais on peut observer les 3 montagnes qui nous entourent, voir le temps passer du bleu azur à noir orage en 10 minutes, c'est impressionnant.

Jour 6 : Ballade jusqu'au village de Montriond par le parc, retour par la route. Après midi, retour à Super Morzine pour une ballade en douceur avant une descente à pied hors des sentiers battus. Soirée à la Chaudanne, raclette à l'ancienne, rosé et coup de fusil final, on est bon (rond?) pour une belle nuit.

Jour 7 : Journée au bercail à suivre le montage du char et donner ça et la un coup de main. Le chantier à de l'avance, il ne reste plus qu'à garnir et il est prêt à déambuler dans les rues de Morzine, demain. Soirée tranquille devant quelques épisodes des Simpsons, rituel magique !

Jour 8 : Jour - J pour le char des Patois. Finitions, garnitures, préparation de la crème, du beurre, etc. La Tomme sera bonne !
Début du cortège, des chars manquent cruellement d'originalité, d'autres sont le fruit d'énormes recherches et ça vaut le coup d'œil !
Démontage après 2h de défilé puis repas avec les "acteurs" et leurs femmes au chalet. Le vin coule à flot, les spécialités savoyardes se succèdent : tarte de Savoie, taboulé et charcuterie du terroir, fromages, gâteau de Savoie et la gnôle finale. Cet alcool sec daté de 1998 vous brûle le palais mais quel bonheur incomparable. On est cuits.
On tombe comme des masses, nuit.

Jour 9 : Me suis levé assez tard, la tête lourde. Lendemain...
Pluie battante, on ne sort pas. Sauf en début d'après-midi, une course s'impose, les magasins ferment de 12 à 15h, dur dur ici.
On attends 22h30, on croise les doigts pour nos Borlée en finale du 200m.
Bref, j'ai raté 9 jours de 9GAG.

Jour 10 : Dixième jour, déjà. Comme cela passe vite.
Malgré tout, l'idée que je vais enfin la revoir à mon retour me plonge entre deux sentiments, l'envie de rester près de ces montagnes magiques et l'envie de revenir, l'emmener dans ces jardins que j'aime tant et lui conter ce voyage.
Soit, j'écrirai tout ça ailleurs.
Il fait délicieux, on part pour le Pleiney en téléphérique. On marche une bonne heure avant d'entamer la descente à pied par la route de Nyon pour redescendre à Morzine en plus de 3h de marche. On a découvert des paysages plus merveilleux que jamais, on s'est même arrêté pour les observer quelques instants.
Au soir, assis au jardin avec un peu de rosé qui me transporte, je m'assoupi jusque tard.

Jour 11 : Calme, on ne bouge pas d'ici. Je lis près de 200 pages de mon bouquin au soleil.
Je cuisine quelques côtes de blettes étuvées avec des saucisses de montagnes fumées. Simple mais délicieux.
Soirée au thé et au frais.

Jour 12 : Petit footing pour aller chercher un journal belge, le seul bar tabac qui en vend est au bout de la ville.
Après-midi tranquille, je fini ce livre passionnant puis je profite un peu du soleil et de la bise fraîche.

Jour 13 : Matinée en mode zombie, courte nuit, cauchemars à répétition et vraiment pas envie de me lever. Je somnole jusque midi...
Après-midi à Super-Morzine. Petite ballade puis descente à pied par un sentier étroit mais à l'ombre de ce soleil brûlant, ça aide.
Soirée magique à la Chaudanne, carpaccio de bœuf mariné à l'italienne, divin. Suivi de la traditionnelle fondue savoyarde. Le tout clôturé en beauté grâce au célèbre "coup de fusil" local. Pire que de la gnaule, ça soigne tous les maux.

Jour 14 : Journée au calme, repos.
Soirée avec les propriétaires autour d'une raclette et de charcuterie fumée maison. Le rouge est délicieux, la gnole maison tout autant.

Jour 15 : Calme le matin puis après-midi au lac des Mines d'Or avec les propriétaires qui sont décidément plus que charmants. Le soleil est de la partie, c'est parfait.
Je goute de l'eau à sa source, un délice.

Jour 16 : Matinée calme suivie d'une après-midi aux crêtes de Super-Morzine, le léger vent mêlé à la chaleur est si délicieux..
Soirée calme à se remémorer nos jeunesses autour d'un bon rosé.

Jour 17 - 18 : Derniers jours, retour sous la chaleur en TGV, Thalys etc. C'est insupportable. Rien d'autre a dire, les parisiens sont toujours aussi stupides.

Trouble.



Il est des rencontres, des plaisirs, des sentiments qu'on explique pas, ou très difficilement, en raison de leur origine parfois floue ou tellement inattendue qu'on abandonne toute recherche de compréhension, on profite, on aime, sans se poser la question remontant aux origines. C'est naturel, automatique, sans raison particulière, peut-être.

Dans le cas présent, cela commence par le hasard, se croiser dans un couloir, un local, une rue, etc.
Cela se crédibilise au détour d'un regard, voir même d'un sourire.

Dois-je passer la description de ce sourire ? Celui qui, malgré sa fraction de seconde de vie, vous berce, vous isole du désordre qui vous entoure, vous offre un moment de bonheur inégalable tellement il est rempli d'énergie, de joie, d'ensoleillement.

Lorsqu'on fini par se parler, après avoir bravé durement notre timidité qui s'intensifie comme jamais lorsque notre cœur bat à une vitesse qui essoufflerai n'importe quel athlète, on se dit des banalités, chaque mot, aussi inutile soit-il, est prononcé avec pour seule envie, la prolongation de ce moment magique. Je réponds en bégayant, scrutant autour de moi un point de repère à analyser pour m'y réfugier du regard, puis croisant à nouveau ce regard, dessiné sur un visage sombre, mais tellement lumineux par sa beauté.

Si la chance nous offre la possibilité de se voir en dehors du cadre public et bruyant qui nous entoure, on s'en va boire un verre, le trac me brûlant le ventre. Les heures ne passent pas, pour patienter je me promène entre les longs rayons d'une bibliothèque, en cherchant l'introuvable : un apaisement. Le silence et la quiétude du lieu sont d'un vacarme tel que le vrombissement des voitures que je retrouve à la sortie me calme, me détend un peu.

Je n'ose décrire le moment tant attendu, tant regretté aussi, peut-être, parce qu'il est arrivé trop tôt ou trop attendu aussi, je n'en sais trop rien. Les sentiments qui ont vu le jour depuis sont bien plus importants, plus empreints de joie mêlée à des larmes.

J'ai recommencé à écrire des aphorismes, ces courts écrits relatants sentiments et humeurs auxquels j'avais renoncé, faute d'une forme de foi en eux ou leur intérêt. Autant j'aime le secret, autant je poste virtuellement tous ces nouveaux écrits. Non pas dans l'espoir d'être lu, mais peut-être pour me convaincre que je ne me renferme pas sur moi-même, que je ne fuis rien.
J'écris nuit et jour, je ressens trop de choses que pour les garder en moi, cela doit s'exprimer. Et dans cette solitude certaine, l'écrit reste mon meilleur ami. Mon véritable ami ne portant aucun intérêt à ma vie trop sérieuse et philosophique pour lui, selon ses propres dires.
J'ai retrouvé une muse, une raison de m'exprimer.

On ne s'est jamais autant parlé depuis ledit moment tant attendu. J'ai même le sentiment qu'avant je ne la connaissais même pas. On se confie sans secret, on philosophe, cela représente beaucoup. Nos passions communes se dévoilent une à une, notre vision de la joie et du malheur sont identiques.

Aujourd'hui, j'écris cette forme de chronologie depuis un paradis sur terre, depuis ces montagnes divines. Je publierai dès mon retour. Ces quelques jours en retraits de tout, déconnecté et seul au milieu de cette nature silencieuse mais tellement communicative m'ont permis d'avoir un certain recul sur ces sentiments qui m'habitent.

Tout d'abord, durant chaque marche, chaque repos au bord de l'eau ou sous l'arbre, son visage m'accompagne. Je vis ce voyage avec elle, je me décris ces magnifiques paysages dans ma tête et j'ai la certitude qu'elle peut également les apprécier malgré la distance.
Chaque jour qui passe intensifie le manque que je ressens sans sa présence mais me rapproche d'elle. Un message arrive, je me précipite en fermant les yeux et suppliant l'inconnu pour savoir si elle va bien, si elle est heureuse.

Je n'ose pas rêver d'elle.
Si je devais voir notre amour prendre vie en rêve, ce serait trop parfait, rempli de romantisme du début à la fin, sans aucun frisson. Les rêves ne permettent pas de ressentir ce frisson, celui qui me rend fébrile quand je la croise, celui qui me rend plus seul que la solitude lorsque nous sommes séparés.
La réalité, même entachée de ma timidité, de ma jalousie ou mon manque de tact ne peut être que mille fois plus belle et plus enivrante que ces rêves.

J'éprouve des sentiments nouveaux, encore inconnus par le passé, je ne les contrôle pas mais les cerne petit à petit, je m'y attache et donnerai ma vie pour qu'ils m'habitent pour l'éternité.

À l'écriture de ces mots, toi seule occupe mes pensées. Et je te fais cadeau des plus douces qui soient.

Ce n'est plus STIEG qui écrit là, c'est l'autre visage qui s'exprime, qui se confie.

J.

NB : J'aurai voulu ajouter ces quelques lignes. Or, impossible de savoir où les placer dans ce qui précède. Elles sonnent comme un refrain de chanson qu'on souhaite répéter pour être entendu, compris. Mais elles sont aussi très personnelles, difficile à avouer.

Parfois je pense aux films que je regarde ou aux livres que je lis, lorsque ces innombrables personnages parcourent le monde à la recherche de leur âme sœur, de celui où celle qui les rendra heureux jusqu'à la mort. Cela va au delà des continents, au fin fond de contrées auxquelles on aurait nous-même jamais songé.
Et puis il y a moi, simple quidam aux yeux de ces auteurs mordus d'amour puissants mais lointains. Moi qui ressens cet amour infini aussi près de moi. Je me sens parfois comme un aventurier, un citoyen du monde qui a voyagé de villes en villes et de pays en pays mais sans jamais chercher qui que ce soit.
J'ai parcouru les continents, observé les plus beaux paysages, discuté avec des peuples improbables, visité les plus anciens bâtiments. Un tas de trésors que je conserve à jamaid dans ma mémoire.
Mais c'est dans mon pays, ma province, ma ville presque, que j'ai rencontré celle qui m'émerveille le plus au monde. Ma curiosité, ma passion, mes sentiments n'ont jamais été aussi en alerte.
Les livres auraient donc mentis.

Ce qu'il me tarde de partager ces plaisirs à ses côtés, de la voir sourire et heureuse.

Let us write the next parts of this story.

Holiday as a human Rockstar



I'm writing this, laying on the grass, in front of the cutest mountains ever.
I'll post it as soon as possible, Internet is capricious here.

Too much rose wine can have a worst influence to me, as my mind himself says. But he's completely wrong. I can create, imagine, avoid and live a happy existence, for only a few hours. I don't take drugs, or so little. It's much better.

My only drugs... You know Who she is. Only you can understand.

I write and write without pause here, while walking too. I compose some sweet but strong electronics sounds to marry with the text. It sounds good.

One text is untitled. I can give it her name, her beautiful name. But it would be too easy, too romantic, too classic. I prefer imagine an philosophic title without any sense and think about her every time I'll sing this song. "Help them to feel yourself better" can be a good one. As a quote. I was just falling asleep when she texted me during my holiday. She was in trouble despite of the trouble of others. So the title is the best advice.
I'll thanks her all my life to keep me alive. You will be my Evan when I'll be your Brian. I'm sure you understand what I mean.

A student who works for a market here would like to flirt. She talked about a drink, an evening in the park and a night in her bed or other place if I would impress her.
I've impressed her as no one did before : I've just answered "you're cute and generous but get out dear".

I cannot wait to be back. To text you and offer you a meet. My secret garden with the best views ever. Just for us. I miss you so much.

I'll return to my book and theses songs of Smashing Pumpkins. It helps.

Take care

I am STIEG.

Apologie du manque



Une grosse semaine sans écrire ici. Cela manquait.
J'ai même envie de rédiger en français, je ne sais plus quelle langue m'offre le plus de plaisir, je jongle avec trois chaque jour, je me lasse.

Bref, ces vacances montagnardes furent épuisantes mais magiques. Paysages, nourriture, promenades, le rêve absolu.

J'ai également profité de quelques temps libres pour peaufiner des mixages sur l'album, mon côté maniaque, sans doute.

J'ai peu écrit, malgré une inspiration certaine. J'ai surtout beaucoup pensé. À elle, avant tout mais aussi à l'avenir. Aussi terne est-il. Triste réalité. Définitivement seul...
Qu'est-ce qu'elle me manque. À vouloir se faire du mal, pour oublier un peu. Manque cruel de ce sourire, de ses yeux égalant milles voyages dans les plus beaux parais terrestres. Son regard à m'en faire oublier où je suis, qui je suis. Il me tarde de la retrouver, de nous retrouver. Qu'est-ce que j'en rêve. Elle aurait pu être là mille fois, assise près de moi dans ce pré, observant les monts et le ciel aux millions d'étoiles... Tant de romantisme, tant d'amour à offrir, à partager en ces paysages sensationnels. Je t'offrirai tout ça un jour, tu as le droit de les voir aussi. Ta main serrant la mienne, la nature et nous.

Il est temps d'y aller, je rédigerai plus tard, il reste quelques jours ici. Un vieux livre à achever, des sentiers à parcourir,...

I was dreaming on this place, one or two hours together in my thoughts. As a private moment, just you and me, when all things outside were hidden, when we were one. I hope it can be true.

I miss you more than all.

Let's listen to "Speed Of Pain", a jewel.

I am STIEG.

mercredi 25 juillet 2012

Last forgot post today

I can't be someone else, I can't play any comedy.
I think that being myself every day is the best behaviour ever.
7 billion people, only one love. Impossible say my friends. True says my mind.

We will travel together, I promise you. I never forget it.

"Future Is Now" is not only my band, it's also a reality.

Love.

I am STIEG.

Festival fever // Lover's Mind



Belgian festivals are definitely the best ! Gigs - Parties - Beers - Emotions and meetings.
I'm now a great friend with a teacher I like so much, we are real music lovers, we can talk about it during thousands hours.
I discovered some amazing bands who play progressive rock with their electro touch. Love it, as we do in studio.

I can't wait. I really can't wait.
You know that I can't sleep for hundreds days, since the only drink in the Irish pub. I feel so sad since this day. So, I've to forget it. Definitely. I'll be with her for a entire day, I'll avoid my love.

Coma Black on the iPod, Trouble on the radio. What else better ?

She will be in all my thought during this travel. Every picture I'll take, every feeling I feel, I'll share.

So I won't expose all here, read and enjoy.

I am Your STIEG

jeudi 12 juillet 2012

Hell but rain.


Hot awakening but rain.
Rich english breakfast but rain.
Footing around the houses but rain.
Reading some Onfray's book but rain.
Working on our website but rain.
Last arrangement on some mixes but rain.
Some quick cold dinner but rain.
One more insane film in the dark but rain.
Thinking about some projects but rain.
One more song played on the phonograph but rain.

I officially declare that I miss my old enemy, the sun.

I am rainy STIEG.

mercredi 11 juillet 2012

Against myself, against you.



Intolerance kills.
I kissed a boy, as a try, as an experience. I won't die stupid. Accept it as we accept cruelty of the world, poverty in richest countries, badness of Humans.

There is one more believer in my friend circle. I won't exclude her as my family did with me, I won't blame it or just a little bit. It's for my dignity.
God is fake, hate, wars, lies.
Religion is a myth, a danger, a genocide. Don't do, don't believe anymore. World suffer already too much by it. Please, stop avoid your mind. Believe in you, in your fate, nothing else.
Religion bring us fear and wars. No joy, no help, no share and no love. Never.

Although, mixes are done. Or almost, my ears are never satisfied. This is our jewel, our long-time work, our heaviest gun to bring a revolution in the actual music industry. It's not an album for friends and family, it's for the worldwide future.
Stieg Project and his - army - album Future Is Now will invade your souls.

I miss sleeping. A lot. This work needs thousands hours of my life.
My favourite one will be partly released as a trailer. The movie has been shot, like the sheriff before.

Everyday with my computer in the home studio is helped by my dear green brandy, some fun with one-night girlfriends and all books I read every day. Baudelaire time.

I am against fascism of christianity.

I am STIEG.

mardi 10 juillet 2012

Owned by Death


Some mixes in the home studio tonight.
Honestly, people who don't believe will be hit by the truth.
"Future Is Now" will give you the only holy spirit's mind that exists.
I remember when (best?) friends were swearing that I cannot sing play anything. I maybe lied, lied for five years, maybe.
World will discover our story, their story. Of course, I am you.
You're now all prisoners, they are mine for a unbelievable long time.
I won't preserve or prevent you, I let it for your mind. Adapted since you were born, learn how to use it before.

You will know the power of music. Sounds like trumpets in the Bible. This is maybe our end too, it was maybe written, I am maybe too late.

Maybe you or may I be yours ?

"Future Is Now", more than a name, our reality.

Mixes are almost done. Shooting too. Time is up.

Be care and ready.

I am STIEG.

samedi 7 juillet 2012

Marilyn Manson aux Ardentes, récit d'une grande messe.


C'est avec une avance certaine, près de 10h tout de même, que mon ami et moi franchissons l'entrée du Parc Astrid pour se diriger vers la scène principale et vite se rendre compte qu'une cinquantaine de fans ont déjà pris leurs quartiers devant les barrières. Parmi eux nous retrouvons les éternels gothiques grimés comme leur idole ou poussant le ridicule encore plus loin en arborant cuirs, bottes et autres ferrailles sans aucun rapport avec la star, à se demander comment le grand Marilyn a-t-il pu les inspirer. Tout ceci ajouté aux fans féminines de 13 à 15ans qui n'hésitent pas à se scarifier les initiales du chanteur sur les seins ou à boire de l'absinthe coupée à l'eau. Il est assez clair qu'ils sont bien loin de ce que Marilyn Manson aurait espéré inculquer à ses fans mais il faut de tout pour faire un monde, les fans plus sobrement vêtus mais surtout adeptes du fond et non de la forme arriveront plus tard dans l'après-midi.
Pour ma part, je n'ose trop me réjouir. Il est clair que j'attends son concert depuis plusieurs années déjà mais sa récente descente aux enfers suivie d'un timide retour aux sources teinté d'un essoufflement certain me force à rester sur mes gardes.
23h30, après des heures interminables à supporter le hip hop abusant des basses des Far East Mouvement puis l'exotisme un peu trop sûr de lui des Balkan Beat Box, un immense rideau noir tombe et cache désormais la scène. Les curieux scandent "il est heure, ça commence". C'est évidemment mal connaître le Révérend qui avait déjà fixé son retard dès le matin.
C'est donc 45min en retard que les lumières s'éteignent, la fumée envahit la scène et l'intro "Surprisia Theme" tirée d'une BO d'un bon vieux Asia Argento berce la foule qui tend les bras et scande le nom du chanteur qui se fait désirer en ombre chinoise derrière le grand voile noir.
Le rideau tombe, les premières notes de Hey, Cruel World retentissent. Une intro lente suivie d'une explosion qui a pour effet de provoquer une explosion dans le public traduite par un impressionnant mouvement de foule. Un tout nouveau morceau très efficace.
S'en suivent quelques classiques tels que Disposable Teens ou The Love Song mais ce sont surtout les nouveau morceaux qui nous intriguent. Le single No Reflection est puissant et violent. Marilyn Manson s'essaie même à la guitare pendant Pistol Whipped, pas très convaincant. Slo-Mo-Tion n'est pas exceptionnel en live mais provoque cet effet de transe dans le public comme j'ai pu le ressentir sur l'album (Born Villain, ndlr).
Nous avons droit à beaucoup de bombes déjà vieilles d'une quinzaine d'années mais toujours aussi efficaces telles que Rock Is Dead, ou The Dope Show nous replongeant dans la grande époque où le chanteur dénonçait la bêtise des médias, des magazines et les pièges du succès. Pièges dans lesquels il est parfois tombé depuis. Nostalgie !
Plus loin dans le set, Manson nous rappelle qu'il adore les reprises en nous balançant Personal Jesus et Sweet Dreams (Are Made Of This) qui ont pris quelques rides mais qui emballent toujours autant la foule. Il n'y a plus que des disciples devant leur Dieu. Il sait se mettre l'audience en poche !
Enfin un petit mot : "Belgium Belgium Belgium Belgium Belgium thank you", ça fait plaisir, on commençait à croire qu'il n'était pas heureux d'être là.
Ensuite, 15ans de l'album Antichrist Superstar obligent, le groupe met à l'honneur ce merveilleux opus en offrant pas moins de quatre morceaux issus de ce bijou ! Tourniquet (chanté avec un parapluie couvert de LED), Irresponsible Hate Anthem (certainement le moment le plus violent du concert) s'enchaînent puis s'en suit un blanc de quelques minutes. Un grand pupitre de président est installé, bardé de micros et estampillé du célèbre shock logo. Manson réapparaît, chemise rouge et costume noir, tel un chef d'État qui apporte la bonne parole. Antichrist Superstar embrase la foule. Le chanteur déchire une bible, l'offre au public qui n'hésite pas à se battre pour s'emparer ne serait-ce que d'une seule page de ce livre devenu si précieux.
Pour clôturer le show, il ne manquait plus qu'un seul classique et il arrive enfin : The Beautiful People.
Il ne s'égosille plus comme avant mais nous l'introduit quand même à l'ancienne avec son célèbre "How does it feel to be one of the beautiful people?". Le public donne toute son énergie pour ce morceau, nous sommes écrasés par les plus déchaînés. Le groupe semble lassé, ils ont joué cet hymne des centaines de fois et ne semblent plus emballés.
Cela résume assez bien l'ensemble du concert, un cruel manque d'énergie, nous n'avons pas eu l'impression que le groupe prenait du plaisir et les morceaux s'enchainaient très vite ce qui a rendu le show un peu trop expéditif et bâclé. Marilyn Manson à fait beaucoup d'effort pour tenir sa voix, ce qui semblait impossible pour lui durant les deux dernières tournées. Du haut de ses 43ans il a gagné en maturité et nous a évité des gestes ridicules mais reste fidèle à son éternelle provocation en simulant régulièrement l'acte sexuel soit seul soit en tirant son bassiste, Fred Sablan, par les cheveux pour le coller contre son entre jambe.
C'est donc un concert en demi-teinte auquel nous avons assisté, les tournées à feu et à sang des 90s sont loin mais nous pourrons quand même dire "j'y étais" et à tous les détracteurs qui ont préféré le playback du hip hop américain, Manson est un artiste honnête et vrai, il assume ce qu'il est et il n'a que faire des critiques comme il dire lui-même : "I hate the haters, I rape the rapers".
Cela valait la peine d'être vu !

I am STIEG.

Crédit photo : Dominique Houcmant (c)

jeudi 14 juin 2012

Stieg's Summer 2012 Jukebox

Here is my playlist for this awesome summer which will be musically rich because of the festivals around Belgium and France I will visit.
Graspop Metal Meeting, Ardentes, Francofolies de Spa, Eurock's, Pukkelpop, Brussels Summer Festival, ...
So I've edited this playlist. It contains songs from artists who will play at these festivals but also artists I listen every day or new bands I discovered in 2011/2012...

Enjoy !

Guns N' Roses - Paradise City
Golden Earring - Radar Love
Coldplay - Trouble
Slayer - Piece by Piece
Hugh Laurie - You Don't Know My Mind
Flogging Molly - Black Friday Rules
Morrissey - Every Day Is Like Sunday
Editors - All Sparks
Iggy Pop - No Fun
Jet - Are You Gonna Be My Girl
Blondie - Call Me
Eddie Vedder - Long Nights
Puggy - When You Know
Marilyn Manson ft. Johnny Depp - You're So Vain (Carly Simon Cover)
Dire Straits - Down To The Waterline
The Who - Behind Blue Eyes
Children Of Bodom - Living Dead Beat
The Black Keys - Lonely Boy
Selah Sue - On The Run
Muse - Hysteria
Pink Floyd - A Great Day For Freedom
Rammstein - Mein Land
Motörhead - World Is Yours
The Smashing Pumpkins - Starz
Faith No More - The Real Thing
Patti Smith - Because The Night
BirdPen - Nature Regulate
Machine Head - Locust
Common Fates - Down
Creedance Clearwater Revival - Fortunate Son
Dropkick Murphys - I'm Shipping Up To Boston
Megadeth - Paranoid (Black Sabbath Cover)
Soundgarden - Black Hole Sun
Led Zeppelin - Achille's Last Stand
The Beatles - Come Together
Scorpions - In Trance
Metallica - Enter Sandman
Peter Pan Speedrock - We Want Blood!
Green Day - Holiday
MMII - Money Is Not Our God
Indochine - Gang Bang
Black Sabbath - Sabbath Bloody Sabbath
Sweet - Ballroom Blitz
Madness - Night Boat To Cairo
Jacques Brel - Mijn Vlakke Land
Foo Fighters - The Pretender
Tears For Fears - Mad World
System Of A Down - Roulette
Joy Division - Disorder
Triggerfinger - First Taste
Saxon - 747 (Stangers In The Night)
The Cult - Earth Mofo
Twisted Sister - I Wanna Rock
The Pretty Reckless - My Medicine
Placebo - Nancy Boy
David Bowie - Life On Mars
Pearl Jam - Jeremy
Slash - Apocalyptic Love
The White Stripes - Blue Orchid
Supertramp - Logical Song
Jefferson Airplane - Volunteers
Archive - Kings Of Speed


To Be Continued soon .....


I AM STIEG

jeudi 31 mai 2012

Insane french words...


Rien qu'à te frôler

Juste à y penser

Seulement croire

ou imaginer...

Uniquement en rêver

Amuser ou abuser, une seule lettre sépare ces deux égarements

Un pervers ou un travers

Choix d'envie ou de manque

Voudrais-tu savoir, oserais-tu le savoir ?

Ask me.

J'en deviens fou

Ces regards, esquisses souriantes sans fin

Assez pour enivrer une âme

J'ai repris l'écriture du roman,

nouvelle inspiration, envie d'une suite parfaite

Il t'es dédié, tu t'y retrouveras de bout en bout.

You're like clouds in my coffee..

Ceci n'est peut-être qu'un départ

Sans destination

C'est le voyage qui a le plus d'importance


I am STIEG.


Archive - Love Song : http://www.youtube.com/watch?v=0VgScmN66sM


samedi 26 mai 2012

Machine and Humans are equals.

No feeling
No fate
No taste
No judgement
No love
No reflections
No respect
No QI
No spontaneity
No smile

I love you, I love you too much, so kill me now....

http://www.youtube.com/watch?v=VGHw2682kSE - Machines Live Like Ordinary People by BirdPen

I am STIEG.

jeudi 24 mai 2012

Millions scars draw your face on my skin.


Why can't you understand ?

I know you're afraid, I know all loves around you are unstable, I know it's difficult to choose.

I just please you to dare, dare us.

I also know that you'll read this. Public-secret message.

One day without more than a smile is a new scare on my skin.

We are so alike, we have so many things in common to share together.

Dare to try.

I've the best love feelings for you,

I am STIEG.


http://www.youtube.com/watch?v=qgVyM9Omgqs - You're So Vain
>This song has been written for you.

mardi 22 mai 2012

If "..." could be "us".


She was describing herself.
She talked about her thoughts.

You love what I love, how I love it, how I consider it.

Like a mirror with a pretty (the prettiest?) reflection. Your reflection.
Like an audience which make one.

I see her shade in my mind.
I feel something in my soul.

Stieg will be happy in the next pages ...

Maybe the happiest. Maybe maybe maybe I hope not. I don't want to be happy. I want to "us" be happy. I prefer think "us".
Don't lie to us, there is something waiting for us.

(Now playing "You're So Vain")

I listen, close my eyes, see her. Lyrics were written for us.

Good night world.

Why did I share this ? No Reason (or maybe one....)

I am "us" STIEG.

Extrait - Ennui, Ghettoïsation et transes.



"Le vacarme cosmopolitain et collectif de la cité m'éveilla, sans surprise, tôt ce matin. L'utilité de cette répétition régulière n'a qu'un unique but, me rappeler à quel point je m'en passerai volontiers. Tonnerre, attentat sonore et répugnance misandre personnelle.
C'est avec une certaine allégresse que j'usa de cette longue matinée, machinalement offerte, pour me replonger dans l'analyse romantique de Rubber (film, ndlr).
Dans quels méandres de la folie me suis-je égaré pour tenter de comprendre l'amour à travers la vie d'un pneumatique ? Comment Célia a-t-elle su provoquer en moi ce sentiment d'onirisme qui fini par ronger mes jours et mes nuits ?
Absinthe, opium, thé , je suis prêt à sombrer, à récidiver."
To be continued..... In my first roman to be released soon.
 I am STIEG.

lundi 21 mai 2012

Urchins Have More Soul Than Us

I will hate you 'til I die.
You, your lies, your hate, your fate.

I cannot say anything more, you're the worst, the dirtiest.

I'll behave violently.

I am STIEG.

vendredi 11 mai 2012

Read, Follow, Burn.



Gossip Girl is shit.
Definitely.

I've my nurse dress costume for the next party.

Now, Dark Shadows in cinema.
Depp - Burton - Bonham Carter is the best threesome ever.

Short day at all, write, kiss and sleep.
Don't do drugs, I need it more than you.

Burn after reading this.

I am STIEG.

lundi 7 mai 2012

"Cock it" day



Once upon a time,
In my flying bedroom.
There was a dick, I swear mine.
And one young cute pussy.

It started in a warm bath.
It finished in our warm bed.

We were one. We were free (as the song says).

I miss her breath, her wet secret, her horny pleasure language.

I was looking her eyes, I said "Cock cock cock it", as the song says too.
"Pistol Whipped" was playing by the iPhone.

Born Villain has been entirely played.
One song, one different act, romantic or wild.

I can't wait next Friday, one more night out of hell.
When two makes one.

Dick was a gun in a target shaped pussy.

I am "Cock it" STIEG.

mercredi 2 mai 2012

Rain Of Joy



I love when clouds are watering us.
That bury me in my depressives thoughts.
I don't need to escape, I just want my body covered by this sane acid.

The radio is playing "Mamma Mia". Poor existence.

I'll now return to this wet universe.
I miss my friends.
I miss her too.

May I love you ? Without it life is empty of way, full of fear.

I am STIEG.

NB : No way.

mardi 1 mai 2012

Garden Day on a rainy planet.


Nice day-off.
Visit of the biggest belgian green park. I have bought something for my green paradise. Some dark flowers or suspects plants.
Old flemish gardeners meeting, one race apart.
I found some fishes lost between two young trees. I don't know if I love them more than me. Maybe yeah, because of their healthy mind. Surely not mine.
One young cute guy ask me something about fishing, I nearly kill him. You ask why?
Ask me to kiss, to fuck, to be hornier than one agonising couple.

I'm now back, listening to Disangaged, to heal myself.

Sun has killed the clouds. War is over.

Please come back to me, let me love the light you share.

I am STIEG.

lundi 30 avril 2012

Apple trees are happier than me.



Some are gone, some stayed here.
I feel so alone. Her smile was all I need.
Empty existence.
I'll spend this night with his face in my head. Only in my head.
I'll also watch the t.v. and its sad news about wars, deaths and fears. It will no more shock me.
I'll appreciate it more than my poor feeling.
Maybe I'll write one more song, one more poem or one more morbid novel.
But be sure that I'll use my Absinthe and make the bottle empty as my mind.
I'll be crying, I'll be dangerous, I'll be unstable.
Someone may come to make sure that I'm not on Earth anymore.

Please change your mind.
Please, come back dear pretty love.

I am STIEG.


NB : Never let your dreams, it's what help you to stay alive.

samedi 28 avril 2012

Our guide is back - A review of Born Villain



This morning I listened to the new Marilyn Manson's album called "Born Villain".
I had high expectations of this album and I've been served.

There a are a lot of styles used on this opus. 
Sometimes heavy, sometimes trash but sometimes new wave and pretty too.
It's not my favorite one but it has definitely buried the last two albums (Eat Me, Drink Me & The High End Of Low author's note) which were too personal, Marilyn Manson has too much shared his feelings.
We loved when he shared hate and blames or when he let us imagine the film of each song. Not the contrary.

I'll now give you a short feeling about the songs, one by one.
Be care, world is cruel, something violent is coming.



Born Villain


"Hey, Cruel World"
Nice introduction, quiet and hard too, the guitar sounds really angry and the voice too beside the gloomy victim start.
"I am among no one" explain all, he's not a chief, a star, he's us.



"No Reflection"
First single from the album and maybe the best for the last  nine years.
He warn us that the following will be violent.

Manson explains that there are several people in his mind but he can't choose one.
Music is simple but effective.



"Pistol Whipped"
A long and boring intro but the guitar at the start is nice and relaxing.
He returns back to his roots, the love for bad feelings, dark thoughts. We can just love it.

Bass is interesting, not rich but really made to accompany this song.


"Overneath The Path Of Misery"
We've already heard this song in the short film "Born Villain" directed by Shia Labeouf.
It's the heaviest voice, the angriest guitar but not the trashiest.
I just want to increase the volume and make explode my windows. Why ? No reason.



"Slo-Mo-Tion"
The song which gave me some chills from the start.
The bass is awesome and the lyrics are just deeply personal. "This is my beautiful show" describe his mind at the moment, he's happy to do what he want, without any limit and always uniquely.
He screams, I missed it !



"The Gardener"
He start with speaking, the bass follows him with perfection.
It's sounds like a speech, about evolution, weed or nature, we'll never know.
I'm swallowed by the bass.
He's definitely angry and we tend to be angry too.



"The Flowers Of Evil"
Nature again but everyone will feel the Macbeth and "Les Fleurs du Mal" influences.
It's very poetic, this song remind me the Manson I loved in the 90s. It's very pop/rock and heavy too. Really difficult to mention one style.


"Children Of Cain"
One very quiet song from start to the end, we can breath a little bit and enjoy the beautiful lyrics and th guitar which sounds like piano. Nothing else to add, enjoy it.


"Disengaged"
It's really sounds like "Deformography", it remembers the 1996 era !
I'm seduced and addicted.



"Lay Down With Your Goddam Arms"
I don't like this song, some parts sounds interesting but the choirs by Manson are useless, the guitar is boring but I love the "full-of-hate" lyrics. Invitation to fight, to cry, to shout our anger to the world.


"Murderers Are Getting Prettier Every Day"
The hardest, the fastest and the most effective song ever !
I head-bang myself from the start to the end. It is the Manson we love. Guitar is intense, drums is fast and destructive !

The solo is trash, the best ever.


"Born Villain"
 Very quiet start, acoustic guitar. the singing is pleasant.
It recalls the distant past of the band... 

It's not the best song but maybe the most topsy-turvy.


"Breaking The Same Old Ground"
The penultimate song, everything settles down quietly.
The storm is far now... The music is really enjoyable.

He invites us to silence, to listen with care...


"You're So Vain" featuring Johnny Depp.
The surprise, the bonus track !
I've been waiting so long...
It's pleasant, voice is perfect. The two longtime friends and now reunited with success. I played it five times, we want to smile, to forget our problems, just for a few minutes.
A really successful cover, Carly Simon can be proud.




Notes :


Voice : 8/10
Guitar : 8/10
Drums : 7.5/10
Bass : 9/10
Artwork : 4/10 (no booklet, no lyrics, one picture only)
Lyrics : 8.5/10


This listening session made me want to meet suicide and writing some new angry pamphlet.
See you soon, my fellow human beings.


I am STIEG.

mercredi 25 avril 2012

Weed Weed

Following an experimental composition created by my dear friend and guitarist Chuck Jonson, I've worked on a text which can marry the music
That's a date with no-limit death.



I need weed
I don't need it sweet
Weed and sheep
That's all I need

Weed Weed you need
Sweet meat you eat
It's just all you need

And you and I
We convinced us to fly
From lie to stripes

Weed weed weed
I need as a feat
That grow in my tears
After the sweet sting

Wings after weed
That all acid
Acid that I tease

Now wind and I
Disperse some weed
Breath by weeders
That all we need


My child will like
When I cut his skin
Blood and weed are weak


And you and I
We think that's right
That's weed teens need.


I am STIEG

samedi 24 mars 2012

Future Is Now - tracklist


I'm proud to announce the tracklist of our first album.
The order can change later.
A teaser will be published when recording will be finished.
  1. Bad Behaviours
  2. Rage To The World
  3. Hidden Hunger
  4. The Fate In A Swamp
  5. God Is A Gun
  6. Suffer (Part 1)
  7. No Hope For A Monster Like Me
  8. Hey My Friend (ft. Crazy Seb)
  9. From The Sky To The Chasm
  10. Invisible Christ
  11. White Slave (Suffer Pt. 2)
  12. Educated Machine
  13. My Anger's Vertex
  14. Some Truths
  15. How To Eradicate The Dark Side Of The Light
  16. Bruder Von Zorn
  17. Evil Never Dies
  18. Abroad With Guts
  19. Damning Report 
  20. Future Is Now
Bonus : 
  1. Born To Die (Lana Del Rey Cover)
  2. Coma White (Marilyn Manson Cover)
  3. Kings Of Speed (Archive Cover)
  4. Hey You (Pink Floyd Cover)
  5. Voodoo Child (Jimi Hendrix Cover)

mercredi 21 mars 2012

Never Let You Down

Extract from a untitled love-hate song :

(Bass solo) 

The for ever single man  in fact two
The for ever single was having fun
                                     with a heavy gun

I won't let you until I die, until I fall, until I die
I'll release you from this immoral cage
He was your saver. And now your pain.
Protection is now infection - manipulation.

She's an angel in Hell. No way to give a sign. 

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Bridge - Solo - Final


I am STIEG.

dimanche 18 mars 2012

From The Sky To The Chasm

We were waiting quietly in the terminal.
There was no stress...we were just to hundred countrymen in the sky.
We listened, we listened the female "off" voice.
"Fasten your seat belt, please"....Please God help us !

The plane has now taken off.
Fucking ill luck, 'have an head ache.
People make noise, people make noise, too much noise.

Female voice is back.... Don't panic, It's just an high tempest.
Passengers make now silence. It's so good !

There's now other problem.
We listened the Bip, bip, bip.
Now huge noise, now panic, now million questions !
Where, where's the exit ? Where are the Angels ? Where are the trumpets ?
It's our turn, it's our turn,...
Here we are...Perhaps here we go... I don't know.

We are falling. We're running to the Edge of the Chasm.
I'm just an other... An other countryman in the sky.
I repeat it to myself. I'm just an other...

Four hundred, forty seven.
My flight number, my coffin's number...
We are falling, I close my eyes.
I could see the sky, I can see the chasm.

Review of my life. From the birth and the childhood.
From these good days to the death.

Today is the day
Today is the day
Today is the day, two hundred twenty four people's day.

I'm falling
Falling

From The Sky To The Chasm.

vendredi 16 mars 2012

Great to be back home



Really proud to be back.
I'll share with you some musicals experiences from gigs or listening sessions.
I listen to more than hundred brand new records every year, and now I've decided to share my reviews with you.

But that's not all, brothers and sisters.

I'll share my experiences from my progressive collective called Future Is Now.
If Marilyn Manson is my god, Archive can be my dad and Joan Jett my mother.

It explain all. Our future will take place on studio and then on stage. I really can't wait.
We are preparing the Future End Of The World Tour very seriously.

I will not invent anything, I'll juste use rubbish from Earth and try to serve it as some hits.

Don't like us, don't hate us, just talk about us.


See you very very soon.


I am STIEG.






Twitter : @FutureIsNow
Facebook : Future Is Now
YouTube : FINMUSICOFFICIAL (soon)

mardi 3 janvier 2012

Aphro-Love

I'm allowed to go,
It was written in your eyes
Pretty, dark but exciting
Don't ask wet or dry
Not front of back too
We will enjoy the moment
Despite of rain of cold

Undressed on the grass
Which carresses your ass
Ten nails on my back
The long and the deep are ready
Let me glide slowly
Shyly between your legs
I'm now in. Deeper than deep.

I AM STIEG.